je me fous de tous ces noms sans utilité que l'on donne aux sentiments. comme si il y avait une étiquette à coller sur le front des amoureux, et une étiquette pour ceux qui ne le sont pas. c'est bien trop futile, tout ça. qu'est-ce que ça change vraiment ? je veux juste que tu sois là, auprès de moi. que tu m'écoutes, me comprennes et me consoles. j'ai seulement besoin de ne serait-ce qu'un peu de réconfort de ta part. rien qu'un mot, rien qu'un geste. peu importe le reste, ce n'est pas important. j'ai peur que ta présence me soit devenue indispensable, et que ton absence soit sans fin. si tu m'entendais, je te dirai simplement que j'ai le mal de toi. tu es la personne qui rend ma vie si merveilleuse. tu es aussi celle qui la rend si compliquée.

lately i've been, i've been loosing sleep, thinking about the things that we could be, and baby i've been, i've been praying hard, say no more counting dollars, we'll be counting stars.

you and me are the summer night, park that car, dancing in the headlights, you and i, late nights drives, your hands in mine and all your time, i don't need money in my pocket.

when the days are cold and the cards all fold and the saints we see are all made of gold. when your dreams all fail and the ones we hail are the worst of all and the blood’s run stale.

don't you think that it's boring how people talk making smart with their words again, well i'm bored because i'm doing this for the thrill of it, killin' it. never not chasing a million things i want.